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Résumé :
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L'étude du bien être des animaux sauvages en captivité, impliquant divers établissements tels que les parcs zoologiques, met en scène des animaux vivants hors de leur milieu naturel. afin d'évaluer le degré du bien-être animal, il a été nécessaire de sélectionner plusieurs indicateurs sur des critères de fiabilité et d'objectivité. parmi ces "marqueurs" du bien-être animal, se côtoient aussi bien les mesures de paramètres physiologiques que la description des comportements. la notion de stress a joué un rôle fondamental dans l'établissement de la définition de l'état de mal-être, et les paramètres du stress sont par conséquent fréquemment considérés comme de bons indicateurs. les contraintes de la vie en captivité, qui est cependant nécessaire dans certains cas, portent souvent atteinte au bien-être des animaux, qui expriment leur mal-être en développant diverses affections, allant de la pathologie infectieuse, aux troubles du comportement. il existe cependant des solutions pour réduire le stress et la souffrance, tant physique que psychologique, de ces animaux sauvages en captivité. les différentes voies thérapeutiques explorées sont actuellement au nombre de trois : l'enrichissement du milieu, le traitement chimique et l'utilisation des interactions entre l'homme et l'animal.
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