Résumé :
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Malgré son intérêt socio-économique, la diffusion d'activités et de résidences de type urbain n'est pas de type à résoudre le problème territorial posé aux "zones fragiles" par le repli de l'agriculture comme forme exclusive d'utilisation de l'espace. Les représentations dominantes, qui appréhendent des étendues extra-urbaines comme fatalement assignées à la production agricole, empêchent que l'on ne prenne même conscience que leur valeur biologique, esthétique, paysagère, halieutique, cynégétique constitue la matière première de nouvelles formes de valorisation et risquent de sacrifier des vastes ensembles géographiques d'une grande richesse bio-environnementale au maintien d'une agiculture de plus en plus subventionnée.
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