Résumé :
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Ce livre se découpe en une multitudes de chapitres allant de l’analyse économique des MacDo, aux statistiques nationales sur le nombre de permis de construire signés par des architectes. L’intéret de ce livre est de mêler l’économie et ses flux aux choix urbains qui résultent pour une bonne partie selon l’auteur sur le désengagement progressif de l’Etat, au travers d’une chronologie qui commence dans les années 50 avec la suprémacie de l’automobile, les années 60 avec les grands travaux d’infrastructures de transport (apparition des péages), les années 70 avec l’apparition de l’urbanisme commercial, puis les années 80 avec le développement de la maison individuelle facteur d’un urbanisme en lotissement. A cette connexion à l’échelle nationale permise par de grandes infrastuctures d’aménagement s’ajoutent des logiques locales de déconnexion individuelles; notamment une politique de lotissements, plus ou moins fermés sur eux mêmes.
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