Résumé :
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Paul Guillibert traite du grand absent des pensées écologistes : le travail. Il affirme que, de la plantation coloniale au foyer familial, en passant par lusine, lécocide résulte de différentes formes dexploitation du travail (salarié, servile, domestique). Exploitation des humains, certes, mais aussi mise au travail généralisée des vivants. Replacer la production capitaliste au cur de la crise, cest rendre possibles de nouvelles alliances entre travailleurs et écologistes, entre humains et autres quhumains. Et une écologie vraiment émancipatrice.
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