Résumé :
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La france s'est résolument engagé dans une politique de l'eau se traduisant notamment par d'importants investissements justifiés uniquement par les bénéfices que la colllectivité en retire. or, la plupart se situant dans la sphère du non-marchand, ils sont difficiles à évaluer. après un rappel succinct des principes généraux guidant l'évaluation économique des biens environnementaux, les connaissances acquises à l'étranger dans la mesure des bénéfices d'une politique de l'amélioration de l'eau par grandes catégories d'usage sont mises en perspectives au regard de l'expérience française encore lacunaire. puis, afin d'avancer quelques ordres de grandeur des consentements de la collectivité à payer pour une amélioration de la qualité de l'eau et du milieu aquatique, une synthèse des évaluations disponibles est proposé.
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