Résumé :
|
L'auteur examine s'il est possible d'adapter les études de débits et de capacités aux routes non revêtues, d'envisager l'interêt économique du bitumage des routes d'une façon mieux adaptée au contexte des pays africains en développement. Il faut prendre en considération des phénomènes inconnus dans le cas des routes revêtues, des éléments susceptibles d'être tenus pour négligeables dans le contexte d'économies développées et dans le cas de trafics élevés, de contraintes spécifiques dues aux choses et aux hommes. L'auteur se limite ici aux problèmes de "rase campagne".
|