Résumé :
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Cet ouvrage parut audacieux lors de sa publication en 1967. La thèse de l'auteur était simple mais redoutable dans sa perspective. Un diagnostic scientifique qui n'a rien perdu de son actualité, devenu un classique parce que le temps en a confirmé la justesse. Une postface rédigée en 1984 commente les diverses réactions négatives qu'elle avait alors suscitées, puis esquisse quelques perspectives intéressantes pour l'activité agricole, mais aussi pour le développement rural.
L'ouvrage parut audacieux lors de sa publication en 1967. La thèse de l'auteur était simple mais redoutable dans ses perspectives : la France avait vu disparaître une civilisation millénaire, constitutive d'elle-même, et depuis les années cinquante la paysannerie, en tant que mode de vie, avait complètement disparu, ne laissant dans la campagne française que des agriculteurs-producteurs obéissant aux règles du marché et de la technique. Ce diagnostic scientifique n'a rien perdu de son actualité. La Fin des paysans - augmenté d'une postface écrite en 1984 -est devenu un classique parce que le temps en a confirmé la justesse.
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