Résumé :
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Ce recensement expérimental , tendenciellement exhaustif , démontre la nécessité de distinguer entre : - d'une part , un petit nombre de "structures d'agrégation et d'encadrement " où se recrutent les porte-parole du "mouvement ", interlocuteurs (plus ou moins légitimes) des différents pouvoirs ; - d'autre part , plus de 80 % des groupes, focalisés sur des dossiers spécifiques, très fortement corrélés à la gestion péri-urbaine, où la revendication démocratique sur le fonctionnement des pouvoirs locaux mobilise autant que l'environnement. L'analyse des matériaux montre que : cet ensemble est caractérisé par trois "postures" différentes : résistance-refus, conservation-pédagogie, entreprise-valorisation. En conclusion, l'auteur précise l'utilité que pourrait avoir un "observatoire des associations du secteur environnement" non pas en tant qu'instance cognitive, mais comme instrument praxéologique, propre à faciliter les confluences souhaitables et nécessaires.
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