Titre :
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Influence des conditions d'alimentation hydrique sur le débourrement et la croissance de jeunes plants de Cèdres (Cedrus atlantica Manetti) cultivés en serre
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Auteurs :
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D. Finkelstein
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Type de document :
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article/chapitre/communication
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Année de publication :
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1981
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Format :
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p. 513-530
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Langues:
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= Français
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Index. décimale :
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634.975 6 = Cèdres (sylviculture)
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Catégories :
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FM
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Mots-clés:
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COMPORTEMENT HYDRIQUE
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CEDRUS ATLANTICA
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Résumé :
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Deux expériences sur le cèdre réalisées en serre ont permis d'étudier l'effet de stress hydriques plus ou moins prononcés sur la phénologie des plants : débourrement et croissance en hauteur. La première expérience portant sur des plants de la provenance du Ventoux, agés de 4 ans, a débuté en 1977 et s'est poursuivie jusqu'au printemps 1980. Pendant cette période certains plants ont été constamment bien alimentés en eau et d'autres ont subi divers en séquences hydriques : année sèche, année humide, année sèche par exemple. Le déficit hydrique a tout d'abord un effet l'année même de son établissement : il induit une baisse de la vitesse de croissance et un arrêt précoce de l'élongation. Il en résulte une diminution notable de la longueur finale de la pousse annuelle. Mais l'influence du stress hydrique se manifeste également l'année suivante : les plants ayant subi une séquence année sèche, année humide montrent, la deuxième année, une élongation supérieure à celle des plants maintenus durant les 2 ans en conditions hydriques optimales. Ce phénomène est dû à un débourrement plus précoce des plants stressés et à une stimulation de leur vitesse de croissance. Le seconde expérience a été réalisée sur 5 provenances de cèdre. Elle confirme l'ensemble des résultats décrits ci dessus en montrant de plus des variations importantes dans l'intensité de la réaction à un stress hydrique donne suivant les provenances. Ces différences pourraient être mises à profit pour orienter le choix des provenances vers les zones climatiques à moindre risque (sécheresse et gel tardif) pour chacune d'entre elles.
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Source :
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Annales des sciences forestières, vol;38, n.4,1981
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