Résumé :
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Contrairement à certaines idées reçues, l’homme n’a pas détruit la diversité biologique en métropole, mais il l’a transformée et enrichie. La déforestation, l’agriculture, les aménagements des cours d’eau et des zones humides, les introductions d’espèces ont créé des milieux artificialisés, gérés pour nos usages variés. Jusqu’à quel point pouvons-nous maîtriser les dynamiques de cette nature, soumise à différentes contraintes telles que de nouvelles pratiques agricoles, l’urbanisation, le réchauffement climatique ? La biodiversité ne relève-t-elle pas autant de l’attente des citoyens que de l’écologie scientifique ?
La déforestation, l'agriculture, les aménagements des cours d'eau et des zones humides, les introductions d'espèces ont créé des milieux artificialisés, gérés pour des usages variés. L'homme n'a pas détruit la diversité biologique en métropole, mais il l'a transformée et enrichie. A partir de cette affirmation, l'auteur pose la question du pilotage des dynamiques de cette nature, soumise à de nouvelles pratiques agricoles, à l'urbanisation, au réchauffement climatique.
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